Passionnée depuis toujours par le corps, le bien-être et le développement personnel,
à la recherche d’un mieux-être et d’un équilibre,
curieuse de comprendre le fonctionnement de notre corps et de notre esprit et comment ils interagissent ensemble,
toujours à l’écoute de mon monde intérieur,
convaincue des effets positifs et extraordinaires de la méditation,
attirée par les autres, le relationnel et le contact,
toujours dans le ressenti et l’empathie,
adorant transmettre mon savoir dans le domaine du corps et de l’esprit,
créer ce nouvel espace de vie en devenant votre sophrologue pour vous apporter au mieux mon aide et me mettre à votre écoute était alors pour moi comme une évidence.

Professeure de danse depuis 22 ans, c’est un métier passion depuis toujours.
Transmettre ma passion, mais aussi des valeurs de vie à des enfants et des jeunes pour les aider à se construire, c’est ce qui me fait vibrer et avancer chaque jour.

La danse est un art.
La danse est l’art de créer, d’exprimer des émotions, de s’exprimer, de vibrer, de donner, de faire don de son âme.

Être professeure de danse, c’est aussi l’art de jongler entre plusieurs casquettes : enseignante et pédagogue bien sûr, mais parfois un peu aussi maman, amie, grande sœur, confidente, médiatrice, infirmière, psychologue…
C’est l’art de faire don de soi.

La sophrologie est aussi l’art de faire don de soi, de ressentir son corps et ses émotions, et d’avoir un peu toutes ces casquettes.
Je retrouve dans ce beau métier de sophrologue des valeurs importantes dans ma vie : l’amour de l’être humain, le partage et l’entraide, les rencontres, le soutien et la solidarité, l’écoute, la bienveillance.
Offrir une parenthèse de bonheur par la sophrologie, voilà une nouvelle aventure qui promet d’être riche et intense.

Plusieurs expériences de vie m’ont amenée à me questionner sur la mort et pourquoi j’avais une telle attirance pour ce thème. 

Cela n’a pas toujours été le cas. Jusqu’en 2008, je préférais ne pas penser à la mort, je détournais même le regard quand je passais devant un cimetière croyant que cela me porterait malheur. Et puis, mon petit homme Tom est né. L’accouchement fut très long et difficile, mais c’est finalement grâce à cette souffrance endurée que j’ai pu vivre une expérience extra-corporelle qui a changé ma vision de la vie, et surtout ma vision de la mort.

Pendant quelques secondes seulement, mon esprit s’est déconnecté de mon corps physique ; et de la souffrance, je suis passée en un instant à un bien-être intense, une paix intérieure inexprimable. Je pourrais parler de douceur, de chaleur, comme un cocon en apesanteur. Le pardon, l’acceptation, le lâcher-prise, l’apaisement, la compréhension du monde sont les mots qui me viennent pour décrire cette sensation.

La mort n’est plus pour moi un sujet tabou à éviter absolument mais bien une chose qui fait partie de la vie.

Puis, des expériences malheureuses se sont invitées dans ma vie mais m’ont permis de rencontrer des personnes extraordinaires dans un univers méconnu qui, souvent, fait peur, des personnes bourrées d’humanité et d’empathie, à l’écoute et dans l’accueil permanent de la souffrance de l’autre. Les métiers de maître de cérémonie et conseiller funéraire réunissaient toutes mes valeurs : empathie, humanité, respect, écoute, soutien, aide, bienveillance, gentillesse, solidarité.

J’aurais pu m’intégrer à cette grande famille des métiers de l’ombre, mais j’avoue que certains aspects techniques (dont je vous épargnerai les détails) m’ont empêchée d’aller plus loin.

C’est alors que j’ai découvert cette spécialisation de l’accompagnement du deuil en m’appuyant sur la sophrologie. Je pouvais donc développer toutes ces qualités d’écoute et de soutien aux personnes endeuillées.